Billy Hayes
Nombre de messages : 109 Age : 46 Localisation : devant un ordi forcément! Date d'inscription : 20/04/2007
| Sujet: GOMEZ VS TAVARES (Gilles Paquet-Brenner et Cyril Sebas) Mar 12 Juin - 22:33 | |
| http://www.filmdeculte.com/film/film.php?id=1847ou comme ca: Gomez Vs Tavarès
France, 2006 De Gilles Paquet-Brenner et Cyril Sebas Scénario : Eben, Raphaël IV, Stephane Grisard, Gilles Paquet-Brenner Avec Titoff, Stomy Bugsy, Noémie Lenoir, Jean Benguigui, Daniel Duval, Fernanda Tavarès Photo : Diego Martinez Vignatti Musique : Eben & Jacojack Durée : 1h37 Sortie : 13 Juin 2007Tonton est mort... et il a planqué l'héritage! Qui de Gomez et Tavarès mettra la main sur le magot en premier sachant qu'ils ne sont pas seuls sur le coup? Se partageront-ils le butin? Nos deux flics se lancent dans une redoutable chasse au trésor où tous les coups sont permis.COPIE CARBONE En pleine promotion lors du dernier Festival de Cannes, les comédiens avaient l’audace de comparer leur film au Bad boys de Michael Bay ou encore au Miami vice de Michael Mann. Franchement, on en rigole encore. Car il faut être inconscient, ou être atteint de cécité, pour oser vouloir comparer l’incomparable. Ne serait-ce qu’en terme de jeu, Titoff et Bugsy ont encore toutes leurs preuves à faire pour un jour oser prétendre être comparer à un Jamie Foxx ou un Colin Farrell. Mais on le sait, la période de promotion est un jeu cruel auquel il faut souvent se plier et y aller de sa mauvaise foi pour essayer d’attirer le spectateur pas vraiment conscient des qualités (qualités?) de ce genre de cinéma déjà pas fameux sur le papier. Alors oui, en ce sens, ces héros n’ont pas froid aux yeux. Mais les ont-ils seulement en face des trous? Et bien finalement, et contre toute attente, peut-être. Car, à l’instar du premier opus, même si le film est bourré de défauts, quelque chose lui permet au film de fonctionner normalement, et même se payer le luxe d’arriver à divertir. Même s’il est évident qu’il n’atteint à aucun moment le niveau de ses influences américaines citées ci-dessus, Gomez Vs Tavares ne s’éloigne pas (à défaut d’essayer de se surpasser) de sa directive première, et assure le minimum syndical. Ainsi, on peut clairement affirmer que ceux qui, il y a maintenant quatre ans, avaient détesté le premier opus, peuvent d’ores et déjà passer leur chemin. Mais pour ceux qui avaient passé un agréable moment avec les deux zygotos de service, gageons qu’ils retrouveront tout ce petit monde d’arnaqueurs à la petite semaine sans déplaisir. | |
|